La sibylle de Cumes est une des douze sibylles, celle de Cumes qui apparaît dans maintes légendes.
Cet article est une ébauche concernant la Rome antique et les Étrusques.
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Mythes
Antre de la sibylle, Cumes
Dans un ancien mythe grec, elle demande au dieu Apollon de la laisser vivre autant d'années que les grains de sable qu'elle pourrait tenir dans sa main. Cependant, comme elle ne demandait pas la jeunesse éternelle, elle s'est évanouie jusqu'à ce que seule sa voix reste[1].
Elle apparaît dans la légende d'Énée (celui-ci la consulte avant de descendre aux Enfers) et dans celle du roi d'origine étrusque Tarquin le Superbe, qui lui achète finalement les trois derniers livres sibyllins, au prix des neuf qu'il avait refusés au préalable, après que la Sibylle eut détruit les six premiers par le feu. Les trois livres, censés contenir les destinées de l’État, deviennent les textes sacrés de l'État romain que l'on consulte lors des grands dangers.
Postérité
On ne la confondra pas avec la nymphe Végoia (Begoe), dite pseudo-sibylle étrusque.
Une cavité creusée sur le site de Cumes est traditionnellement identifiée avec l'«antre immense taillé dans la roche»[2] de la sibylle[3].
Le mot « sibyllin » qui signifie « mystérieux » est dérivé de ce nom.
La sibylle de Cumes est une des 1 038 femmes représentées dans l'œuvre contemporaine de Judy Chicago, The Dinner Party, aujourd'hui exposée au Brooklyn Museum. Son nom y est associé à celui de Sophie, sixième convive de l'aile I de la table[6].
C'est aussi une des femmes décrites dans le récit allégorique de la La Cité des dames de Christine de Pizan paru à Paris en 1405.
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