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Marshal Law est une bande dessinée créée par le tandem britannique Pat Mills (scénariste) et Kevin O’Neill (dessinateur et coloriste) qui narre dans un futur proche, les aventures d’un chasseur de héros aux méthodes expéditives et à l’humour noir. Au premier abord satire des comics de super héros, les auteurs vont en fait se servir de leur série pour aborder en profondeur des thèmes plus psychologiques et politiques en élargissant leur champ de références. Débutée en 1987 et ayant connu 11 histoires en date de 2008, cette bande dessinée, souvent clairvoyante, reste d’actualité.

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Marshal Law
Personnage de fiction apparaissant dans
Marshal Law.

Alias Joe Gilmore
Origine San Futuro (San Francisco)
Activité Policier
Pouvoirs Génétiquement modifié pour être insensible à la douleur. A une force, une endurance et une agilité supérieure à la normale.
Affiliation Ex Screaming Eagle (vétéran de La Zone)

Créé par Pat Mills
Kevin O'Neill
Première apparition Marshal Law (vol. 1) #1 (Epic Comics, octobre 1987)
Éditeurs Epic Comics, Apocalypse Ltd, Dark Horse Comics, Image Comics, Titan Books et Top Shelf en 2009.

L'éditeur américain indépendant Top Shelf était en pourparlers avec les auteurs depuis 2009 pour une réédition définitive des aventures du héros, un « omnibus » de près de 500 pages en grand format et « tout en couleurs ». cette dernière précision a de l’importance car l’histoire The Savage Dragon/Marshal Law n'est sortie qu’en N&B, et les auteurs prévoyaient également une recolorisation de l'histoire Pinhead vs Marshal Law: Law in Hell. Mais c'est finalement DC Comics qui s'occupera de republier le matériel existant en , avec un premier recueil incluant "Fear and loathing", "Marshal Law Takes Manhattan", "Kingdom of The Blind", "The Hateful Dead", "Super Babylon" et "The Secret Tribunal".


Le personnage


Marshal Law, a pour identité civile Joe Gilmore, vétéran de La Zone (Panama, Équateur, Brésil et Venezuela) au chômage. Comme tous les Screaming Eagles employés par le gouvernement pour sa guérilla anticommuniste sud américaine, on a fait de lui un super-héros. On l’a génétiquement modifié afin que son système nerveux génère un feedback électrique qui a pour effet de bloquer toute information nerveuse relative à la douleur. Il ne ressent donc plus la douleur (symbolisme du barbelé autour du bras), ce qui explique principalement sa psyché décalée (et qui nourrira beaucoup l’évolution du personnage). En tout cas, il a aussi une force, une endurance et une agilité supérieure à la normale (voir aussi Darkman de Sam Raimi, 1990). Est-ce lié à cette absence de ressenti ? Marshal Law est officiellement un policier, employé par le gouvernement pour « gérer » les gangs de super héros (souvent des vétérans de la zone) dans le quartier le plus dangereux de San Futuro (San Francisco après un séisme qui a ravagé la ville). Son supérieur direct est le commissaire Mac Gland (lui aussi un super héros au pouvoir naturel : il est super menteur).


Les histoires



Marshal Law : Fear and Loathing



Publications

Premier arc de 6 numéros de 28 pages sortis aux États-Unis chez Epic Comics (filiale adulte en creator own de Marvel Comics) entre et , arc titré a posteriori pour le paperback américain Fear and Loathing () et traduit en français par Zenda en 3 tomes ( à ).


Résumé de l’histoire

Un mystérieux super héros volant, le Marchand de Sable, assassine des femmes ayant revêtu le costume de Céleste, super héroïne aux pouvoirs de séduction décuplés. L’enquête de Marshal Law, l’amène à soupçonner le Super Patriote (que par ailleurs il déteste cordialement), héros de la nation, enfant chéri du peuple et accessoirement compagnon de Céleste.


Thèmes abordés

Le propos principal de cette première histoire est d’évoquer le dévoiement du rêve américain au travers de l’exaltation patriotique glorifiant aux yeux du public les guerres ou autres missions moralement douteuses. Et donc, la cible principale ici, est l’image véhiculée par le héros et enfant chéri de la nation : le Super Patriote (au look très Supermanien). Cette première aventure va même théoriser et prophétiser le changement de ton que connaîtra l’industrie des comics dans la décennie suivante (des univers plus cynique et une multitude de création de personnages au « côté sombre » très marqué) en présentant le passage de flambeau entre 2 modèles de Super Héros (illustrées par le fils du Super Patriote, qui va finalement choisir Marshal Law comme figure paternelle).


Traduction française

La traduction, de grande qualité, est assurée par Stéphane Salvetti et le lettrage par Martine Segard. Le traducteur a par exemple eu la lourde tâche de trouver des équivalents français à la multitude de noms de super héros, et s’assurer qu’ils restent accrocheurs, sans trop trahir le sens original. Le Marchand de Sable, est par exemple une bonne traduction pour The Sleepman (en v.o.), bien que son sens ne soit pas forcément très connu du lectorat actuel (et même de l’époque). Et aussi, cette appellation ne permet pas d’insister autant sur l’ironie poétique de la toute dernière case de l’épisode 5, où le Sleepman mourant « … can sleep forever ». L’autre choix aurait été de laisser tels quels les noms des personnages, mais saluons ici l’effort de ne pas avoir choisi cette solution de facilité (à de rares exceptions près, par exemple, le titre intraduisible du second épisode « Evilution », qui est en anglais la contraction des mots evil et evolution). La comparaison des 2 versions, ne révèle aucun contre sens. On peut néanmoins signaler quelques points :


Références utilisées et autres remarques


Quelques citations


Crime & Punishment : Marshal Law Takes Manhattan



Publications


Résumé de l'histoire

Dans une interview[1] réalisée par Dark Horse Comics pour la sortie de The mask/Marshal Law, les auteurs racontaient que leur inspiration ne venait pas forcément des comics de super héros, mais qu’elle pouvait venir de n’importe où, d’un film par exemple. Dans cet ordre d’idée, Marshal Law Takes Manhattan pourrait se résumer par Vol au-dessus d'un nid de coucou[2] chez les super-héros. L’action se passe dans un asile psychiatrique pour super héros situé sur l’île de Manhattan. Cet asile constitue en fait une alternative à la prison, offerte aux super héros coupables d’actions répréhensibles, exactions qui ne doivent surtout pas arriver aux oreilles du grand public. Un nouveau postulant, le Persecutor, s’y présente, alors que le Marshal est chargé d’aller sur place pour le prendre en charge en cas de refus d’admission.


Thèmes abordés

Au travers de l’histoire du Persecutor et de cet asile peu commun, les auteurs abordent la mémoire sélective des pays colonialistes (page 14, cases 8 et 9), le contrôle par les autorités américaines de l’image publique de ses héros et les exactions de la CIA lors des conflits sud-américains. En particulier, on y présente comment l’art de la torture est « inconsciemment enseignée aux jeunes recrues ; pour leur expliquer comment réagir à la torture, on leur détaille de quelles façons sont pratiquées ces tortures. Il est évident que Pat Mills partage les mêmes sources documentaires historiques citées sur le site de Naomi Klein[3] (ne pas hésiter à visualiser le court métrage réalisé par Alfonso Cuaron).

On retrouve aussi le questionnement des auteurs sur ce qui constitue l'essence super héroïque d’un personnage (car seuls de « vrais » super héros peuvent être admis dans cet asile). Enfin, certaines attitudes iconiques des super héros, sont tournées en dérision par les auteurs en les mettant en parallèle avec des profils de pathologie psychiatrique ; par exemple, l’équivalent de Thor dans cette histoire, est atteint de « paranoïa schizophrène », caractérisée par une propension à la grandiloquence et à se sentir l’égal d’un Dieu. Marshal Law n’échappe pas à cette double lecture.


Références utilisées et autres remarques


Références aux personnages de comics

cette fois-ci elles sont légion et très facilement identifiables. Les héros du silver age de la Marvel étant réputés pour être des personnages plus névrosés et moins monolithiques que leurs homologues de DC, c’est tout naturellement eux qui vont peupler cet asile.


Quelques citations


Kingdom of the Blind



Publications


Résumé de l’histoire

Dans cette histoire, notre policier psychotique préféré est confronté à un vigilant de type Batmanien : Scott Brennan, milliardaire touche à tout le jour et The Private Eye, « chirurgien de la racaille » la nuit. L’inexorable affrontement entre ces 2 personnalités ne sera retardé que par une certaine tolérance de la part du Marshal envers les actions du Private Eye (avant de payer très cher son admiration pour cet ersatz de justicier au passé compromettant).


Thèmes abordés

Il y a un personnage central et récurrent dans l’œuvre de Mills, c’est Torquemada l’inquisiteur, et les différentes incarnations que celui-ci lui prête dans plusieurs de ses séries (Nemesis the Warlock, Sha, Requiem, Chevalier Vampire, The Reedemer, etc.) et qui lui permet de régler ses comptes avec les autorités religieuses et fanatiques. On retrouve beaucoup des aspects de Torquemada dans la personnalité du Private Eye : une droiture mystique à la morale douteuse, une volonté inébranlable de punir les « pêcheurs » et le désir d’immortalité pour mener à son terme une œuvre de purification (accompagnée d'une tendance à se prendre pour Dieu).

Ce personnage permet aussi aux auteurs d'aborder les thèmes de l'argent derrière le pouvoir des médias, de l'utilité relative des aggravations de peines et l'admiration du public pour les héros exerçant une justice personnelle (les vigilants). Les discussions et points de vue autour de certains de ces thèmes sont astucieusement inclus au récit, sous la forme d'un dialogue récurrent entre le Marshal et son adjoint Killoton. Il est d’ailleurs étonnant de constater que le porte parole des auteurs n’est pas forcément celui qu’on attendait.

Quant à l’évolution de Marshal Law dans cette histoire, elle est nourrie de l’effet de symétrie suggéré par le personnage du Private Eye. Tous deux sont considérés comme des vigilants à la justice sommaire (c’est l’opinion qu’a la majorité de la critique envers la série), et les auteurs multiplient au long de l’histoire des points communs, comme le fait d’occuper une Batcave entretenue par un assistant/majordome. Croyant reconnaître un pair chez Scott Brennan, le Marshal à qui on aura enfin « ouvert les (2) yeux », sera contraint à l’autocritique à travers ce qu’il aura découvert du Private Eye. Il ne s’en haïra que d’autant plus.

On notera enfin, au travers de l’évocation des parents de Scott Brennan, une critique du milieu scientifique et de la science aveugle, lorsque celle-ci est déconnectée de toute éthique (critique que l’on retrouvera quasiment à l’identique dans les Khroniques du Khaos des ABC Warriors, et sous une autre forme dans Requiem, Chevalier Vampire).


Références utilisées et autres remarques


Quelques citations


The Hateful Dead



Publications


Résumé de l’histoire

Des déchets toxiques réaniment les super héros enterrés au cimetière de San Futuro (la plupart devant leur présence en ces lieux aux méthodes pour le moins expéditives du Marshal) et les transforment en Zombies. Marshal Law est néanmoins prêt à faire le « travail » une seconde fois.


Thèmes abordés


Références utilisées et autres remarques


Quelques citations


Super Babylon



Publications

Dessins, encrage et couleurs par Kevin O’Neill. Lettrage : Steve Potter.


Résumé de l’histoire

Après ceux du cimetière, ce sont les super héros du Âge d'or des comics « conservés » au Victory Museum qui se voient ressuscités par Black Scarab et son fluide toxique. Ils vont vouloir s’en prendre à Marshal Law qu’ils prennent pour un super soldat Nazi, alors que celui-ci a déjà fort à faire avec une petite amie « morte vivante ».


Thèmes abordés


Références utilisées et autres remarques


Quelques citations


Pinhead vs Marshal Law : Law in Hell



Publications

Dessins et encrages Kevin O'Neill, couleurs Steve Buccellato (souvent de simples aplats, pas le plus beau rendu de la série) et lettrages Janice Chiang.


Résumé de l’histoire

Dans cette histoire, Marshal Law s’est enfin trouvé une nouvelle (super) petite amie qui le convie à une thérapie de groupe « festive » animée par Seraph, un ange prétendument venu du paradis. Ce paradis se révèle être en fait un monde démoniaque dédié à l’expression de la douleur et du sado-masochisme extrême. Le Marshal va devoir composer avec le haut prêtre de cet enfer (pour le compte du seigneur Leviathan) : Pinhead, leader des cénobites, des démons passés maîtres dans l’art de la souffrance infligée.


Introduction à l’univers de Pinhead


Thèmes abordés


Références utilisées et autres remarques


Quelques citations


Secret Tribunal



Publications

Dessins, encrage et couleurs par Kevin O’Neill, lettrage de Bill Oakley.


Résumé de l'histoire

Difficile de situer chronologiquement cette histoire, qui semble suivre immédiatement Super Babylon (cf planche 8 du #1), alors que Law in Hell a pourtant été publiée entre-temps. On peut quand même remarquer que le scénario de Secret Tribunal tranche radicalement avec les récits précédents en ne reprenant pas les thèmes récurrents abordés jusqu’ici (comme la perception des conflits armés du XXe siècle). De plus, depuis Marshal Law Takes Manhattan, on assiste à la déshumanisation progressive du héros qui culminera à la fin de Super Babylon. Ensuite, le Marshal prend conscience de son état psychique durant sa confrontation avec Pinhead. L’humanité dont va à nouveau faire preuve le héros dans ce nouvel épisode engage à penser que Secret Tribunal est bien à placer après Law in Hell.

L’histoire reprend ouvertement la trame du chef-d’œuvre de James Cameron, Aliens le retour (1986). On y retrouve donc Marshal Law à la tête d’un commando de super héros mutants, le Secret Tribunal du titre, qui a pour mission de débarrasser une plateforme orbitale (un centre de formation –dans tous les sens du termes- d’apprentis super héros) de ses parasites extra terrestres, les Incubus. À l’instar du personnage d'Ellen Ripley, ils finiront par affronter une reine mère dans un combat dont l’enjeu est la protection de leur progéniture respective.


Thèmes abordés


Références utilisées et autres remarques


Quelques citations


The Savage Dragon/Marshal Law : Ten



Publications

Scénario de Pat Mills (Erik Larsen n’est cité que comme créateur du Savage Dragon), dessins et encrage de Kevin O’Neill (noir et blanc) et lettrage de Chris Eliopoulos.


Résumé de l'histoire

On peut dire que ce récit est la conjonction de deux idées : célébrer les 10 ans de publication du personnage, et adapter la trame du film Seven (1995, David Fincher, traitant des sept pêchés capitaux) aux 10 commandements catholiques. L’histoire est vécue du point de vue du Savage Dragon qui se retrouve projeté dans un futur proche (celui de Marshal Law) afin de prêter main-forte au Marshal pour stopper les exactions d’un serial killer. Ce dernier assassine méthodiquement des super héros/mutants, en châtiment de leur supposé écarts aux dix commandements catholiques (explicités ici dans la partie consacrée aux références).


Introduction à l'univers du Savage Dragon

Pour un historique détaillé voir la page du personnage, mais pour justifier l’idée du Team Up, on peut quand même souligner les points communs évidents entre les deux héros. Ce sont tous deux des policiers possédant des pouvoirs surhumain, qui sont employés à l’origine par le gouvernement pour contenir pour l’un, des gangs de super héros laissés pour compte à San Futuro (San Francisco), pour l’autre, des mutants criminels qui sévissent dans une Chicago elle aussi uchronique.


Thèmes abordés


Références utilisées et autres remarques


Quelques citations


The Mask/Marshal Law



Publications

Scénario de Pat Mills (Mike Richardson n'est cité que comme créateur de The Mask), dessins et encrage Kevin O’Neill, couleur Dave Stewart et lettrage Ellie Deville.


Résumé de l’histoire

Maintenant que Marshal Law n’éprouve plus de haine pour les super héros, il est bien décidé à donner sa démission tout en préparant sa succession. Mais c’est sans compter avec l’équipe de savants du docteur SHOCC, qui tentent par tous les moyens de faire sortir le Sleepman de son coma, allant même jusqu’à tester sur ce dernier un mystérieux artefact (le fameux Mask du titre).


Introduction à l'univers de The Mask

The Mask est un personnage créé par John Arcudi et Doug Mahnke (à partir d’un concept original de Mike Richardson). La série met en scène un masque magique qui transmet le pouvoir de remodeler la réalité (dans un style souvent cartoony) à celui qui le revêt, tout en rendant celui-ci totalement invulnérable. En outre, le masque altère le physique de son porteur (une tête verte barrée d’un large sourire), ainsi que sa personnalité en supprimant ses barrières psychologiques inhibitrices. C’est d’ailleurs cette dernière capacité qui peut suffire à justifier un cross-over entre les 2 personnages, puisqu’elle va servir à nourrir l’évolution du héros.


Thèmes abordés


Références utilisées et autres remarques


Quelques citations


The Day of the Dead



Publications

Illustrations encrage et couleurs sont de la seule main de Kevin O'Neill.


Résumé de l’histoire

Marshal Law est sur les traces d’un ex Screaming Eagle (un super soldat génétiquement délivré de toute sensation liée à la douleur), vétéran de la zone, et ancien camarade d’unité de Joe Gilmore. C’est l’occasion pour ce dernier de se remémorer l’événement tragique à l’origine de la naissance du chasseur de héros, lors de la célébration du « Jour des Morts ».


Thèmes abordés


Références utilisées et autres remarques

Si des références explicites aux personnages de DC Comics et Marvel Comics pouvaient servir initialement de terreau de base aux histoires de Marshal Law, ce n’est plus le cas dans ses dernières aventures (le Hellfire Club apparaît bien dans les X-Men, mais il faut chercher la référence ailleurs). Les auteurs semblent plutôt chercher à développer leur univers à partir de leurs propres créations, avec des attributs (nom, pouvoir) immédiatement liés à leur fonction dans le récit. On pourra néanmoins encore trouver dans les illustrations de Kevin O’Neill (page 37 et 79), des clins d’œil à des super héros existants, pour la plupart déjà référencés plus haut.


Quelques citations

Comme citations cette fois-ci, 2 variantes de phrases emblématiques prononcées par Marshal Law :


Cloak of Evil



Résumé de l’histoire

Marshal Law se retrouve à enquêter sur un meurtre lié à un scandale politique mêlant réunions libertines, espionnage international et cérémonies occultes. Son affaire l’amènera à se confronter aux Secret Chiefs, un club très fermé de personnalités haut placées, protégées par un redoutable et très discret homme de main : The Cloak. Comme si cela ne suffisait pas, le Marshal sera aussi confronté à deux des plus puissants héros de l’ex Union soviétique : Iron Wolf et la fatale Black Madonna.


Thèmes abordés


Références utilisées et autres remarques


Quelques citations


Marshal Law : Origins


Compile les deux nouvelles illustrées ci-dessus (mais en N&B), au format livre (13x20), Titan Books, 2008, (ISBN 9781845769437).


Notes et références





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